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MILITAIRES

 

 

Ici sont présentés les militaires figurant dans notre arbre sans qu'ils soient nécessairement dans la ligne directe et ayant au moins le rang de général.

Adolphe NIEL (1802-1869)

Général du Génie, Maréchal de France

Epoux de Charlotte Maillères, arrière-petite fille de Maurice Perrin et Marie Faurès (ascendance Ruprich-Robert branche Coullet).

 

Né à Muret, le 4 octobre 1802, il étudie à Toulouse et entre à l'Ecole Polytechnique en 1821. En 1823, il entre à l'Ecole d'application du génie à Metz. En 1836, il part pour l'Algérie. Il commande l'une des colonnes d'assaut lors de la prise de Constantine. De retour en France, il est employé aux travaux de fortifications de Paris, occupe divers postes et en 1849, est nommé chef d'état-major du génie au corps expéditionnaire de la Méditerranée. Il s'illustre au siège de Rome, où il est légèrement blessé. Nommé général de brigade, il est chargé d'annoncer au pape la nouvelle de la reddition de la ville éternelle. Pie IX tient à remercier le messager et lui exprime le désir de lui offrir personnellement un témoignage de reconnaissance. Niel répond qu'il serait heureux d'obtenir un souvenir pour son épouse. Le pape offre son propre chapelet pour madame Niel et confère au général la croix de commandeur de Saint-Grégoire le Grand.


Succédant à Vaillant au commandement du génie du corps expéditionnaire, l'année suivante Niel obtient le poste de chef du service du génie au ministère de la Guerre. Conseiller d'Etat en 1852, général de division en 1853, en 1854 il accompagne Baraguey d'Hilliers dans la Baltique, en qualité de commandant du génie de l'expédition. Il participe à la prise de Bomarsund après un siège de cinq jours. En souvenir il ramène la croix qui coiffait l'église orthodoxe de la citadelle russe. De plus en plus apprécié par Napoléon III, il en devient l'un des aides de camp, le 8 janvier 1855. Il est chargé par l'Empereur d'aller en Crimée et de faire un rapport sur la situation de l'armée et la conduite des opérations. Cette mission délicate l'oppose souvent à Pélissier. Au mois de mai, il commande le génie de l'armée d'Orient et concourt à la prise de Sébastopol.

Maréchal Adolphe Niel (1802-1869)
Armoiries d'Adolphe Niel, source Wikipedia

Armes : d'azur, à un L d'or, surmonté d'un nid renfermant trois oiseaux d'argent.

Esprit fin, instruit et de nature gaie, Niel est chargé par l'Empereur de négociations avec le roi Victor-Emmanuel II et Cavour, en vue de la conclusion d'une alliance et au sujet du mariage du prince Napoléon. En 1859, il commande la 4ème corps de l'armée d'Italie et s'il contribue à la victoire de Magenta, c'est à Solférino, qu'il gagne vaillamment son bâton de maréchal. Il y montre de grandes qualités de tacticien et fait preuve de savoir, d'énergie et de sang-froid.


Maréchal de France le 25 juin 1859, Niel occupe des fonctions importantes et en 1867, remplace Randon au ministère de la Guerre. Il tente de réussir là où Randon a échoué et poursuit énergiquement une politique de réforme visant à renforcer les effectifs de l'armée française et à améliorer ses structures et son armement. Il se heurte dans son entreprise à l'aveuglement du Corps législatif. La loi sur la création d'une garde mobile subit de tels amendements que ses dispositions en deviennent illusoires. Niel est miné par ses efforts stériles et un soir, à la fin d'une partie de billard, il confie à un officier d'ordonnance : "Vous verrez ! les Prussiens feront sur nous le bond de la panthère." Depuis plusieurs années il souffre de la maladie de la pierre et son épuisement au ministère avait accéléré la dégradation de sa santé. Il doit s'aliter et est opéré par Nélaton. Le 13 août 1869, entouré de toute sa famille, il expire à son domicile parisien, 90 rue Saint-Dominique. Il est enterré à Muret.

Jean Pierre DOUMERC (1765-1847)

Général de Cavalerie, Comte d'Empire

​Arrière petit-fils de Jacques Doumerc et Jeanne Lamiral (ascendance Ruprich-Robert).

 

Fils de Jean et Marie Salomon, il nait à Montauban le 7 octobre 1765 (de nombreuses sources citent 1767 à la suite d'une erreur qui ne cesse d'être reproduite). Il s'engage le 23 décembre 1783 dans le régiment Dauphin-Dragons. Il obtient son congé le 3 janvier 1788 mais reprend du service le 15 septembre 1791 comme sous-lieutenant au 4ème Chasseurs, ci-devant chasseurs de Franche-Comté. Lieutenant le 17 septembre 1792, il sert d'abord à l'Armée des Alpes, puis à l'Armée du Rhin (1793-94), où il est aide-de-camp du Général Pichegru (4 décembre 1793) et enfin à l'Armée du Nord (1794-95). Chef d'escadron le 25 septembre 1794, il est affecté au 11ème régiment de cavalerie le 8 novembre, puis à nouveau au 4ème Chasseurs à cheval le 7 décembre 1795, et retrouve l'Armée du Rhin (1796-97).

Chef d'escadron surnuméraire à la nouvelle organisation des corps le 5 mars 1796, chef d'escadron en pied au 4ème Chasseurs le 5 mars 1797, il passe à l'Armée d'Italie (1797) avant de rejoindre l'Armée d'Angleterre (1798-99). Il est promu chef de brigade le 3 septembre 1799 au 9ème régiment de cavalerie (devenu en 1803 le 9ème Cuirassiers) avant de rejoindre à nouveau l'Armée du Rhin (1800-01).

 

Il est dans les Vosges en 1804, officier de la Légion d'Honneur le 14 juin. Affecté à la division Nansouty de la grande armée en août 1805, il se signale à Austerlitz (2 décembre 1805) et est nommé commandeur de la Légion d'Honneur le 25 décembre. Affecté à la 3ème brigade (La Houssaye) de la division Nansouty le 4 octobre 1806 et combat à Iéna, Prusse (14 octobre). Général de brigade le 31 décembre de la même année et employé à la division Grouchy de la réserve de cavalerie, commandant de la 2ème brigade de cuirassiers en Pologne (avril 1807), il participe à la bataille de Friedland (14 juin 1807). Fait baron d'Empire par lettres patentes du 2 août 1808, rejoint l'Armée d'Allemagne le 12 octobre, et prend le commandement de la 2ème brigade (2ème et 9ème Cuirassiers) de la division de Nansouty le 1er janvier 1809, combat à Essling (21-22 mai) et Wagram (6 juillet). Inspecteur des dépôts de cavalerie de la 5ème division militaire le 31 mars 1810. Commandant provisoirement la 1ère division de grosse cavalerie à l'Armée d'Allemagne le 4 septembre 1810.

 

Promu divisionnaire le 30 novembre 1811, il est nommé le même jour commandant de la 3ème division de Cuirassiers à Erfurt. Au 3ème corps de cavalerie de l'Armée d'Allemagne le 10 janvier 1812, il est détaché au 2ème corps sous Oudinot en mai 1812. Il prend part à la campagne de Russie dans le corps d'Oudinot, puis celui de Gouvion Saint-Cyr, il se distingue à Pultusk et à la Bérézina (28 novembre 1812). Le 15 février 1813, il commande en Saxe la 3ème division de cuirassiers au 1er corps de cavalerie de Latour-Maubourg, puis sous Murat (15 août) et combat à Dresde (25-26 août). Il est fait comte par décret impérial du 3 septembre 1813. Il commande la division formée du 1er corps de cavalerie en Champagne (3 janvier 1814), et se trouve à La Rothière (1erfévrier), Vauchamps (14 février), Lizy-sur-Ourcq (1er mars) et Neuilly-Saint-Front (3 mars).

 

Membre d'une commission formée à Paris pour l'exécution de la convention du 23 avril 1814 entre la France et les puissances alliées, le 9 mai 1814. Inspecteur de la cavalerie dans les 9ème et 10ème régions militaires pour 1814. Inspecteur général de cavalerie pour 1815 dans la 3ème région militaire le 30 décembre 1814. Il est fait chevalier de Saint-Louis le 15 juin 1814 et grand-officier de la Légion d'Honneur le 17 janvier 1815. Au retour de Napoléon, il est nommé le 20 avril 1815 membre de la commission chargée d'examiner les nominations faites dans l'Armée par le gouvernement royal. Il est chargé le 23 juin de former un corps de cavalerie à Saint-Denis et rejoint l'Armée Grouchy. Mis en non activité, le 1er septembre 1815, au retour des Bourbons, il est néanmoins rappelé en disponibilité, sans commandement, dans le cadre d'activité, le 30 décembre 1818 avec le titre de Lieutenant Général des Armées. Il est admis à la retraite le 1er janvier 1825 pour ancienneté de service.

 

Le gouvernement de Louis Philippe le relève de sa retraite et le nomme commandant de la 18ème division militaire à Lyon le 7 août 1830. En cette qualité, il entre dans le cadre de l'état-major général le 7 février 1831. Grand-Croix de la Légion d'Honneur le 4 mai 1832. Il est réadmis à la retraite, à sa demande, par ordonnance royale du 11 mai 1833. Il meurt le 29 mars 1847 au n°32 de la rue du Faubourg Poissonnière à Paris. Son nom figure sur le pilier Nord de l'Arc de Triomphe de Paris. Outre son titre de Grand-Croix de la Légion d'Honneur, il était également commandeur de l'ordre équestre royal de Bavière, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.

 

Armes de baron : coupé : le premier, parti d'or et de gueules, le deuxième, d'azur ; l'or, chargé de deux drapeaux d'azur à franges d'argent passés en sautoir, sur lesquels broche une cuirasse de sable, surmontée d'une étoile de gueules ; le gueules, au signe des barons militaires ; et l'azur, au cheval ailé et volant d'argent et à l'étoile d'or en pointe.

 

Armes de comte : coupé ; au premier, parti d'azur à l'épée haute en pal d'argent montée d'or et d'or à deux drapeaux d'azur frangés d'argent sur lesquels broche une cuirasse de sable, surmontée d'une étoile de gueules ; au second, d'azur au cheval ailé volant d'argent, à l'étoile d'or en pointe.

 

Armoiries de Baron de Jean Pierre Doumerc, source X Gille

Baron

 

 

                                       Comte

Armoiries de Comte de Jean Pierre Doumerc, source X Gille

Guillaume Philibert DUHESME (1766-1815)

Général d'Infanterie, Comte d'Empire

​Petit-fils de Jean Chauvot et Anne André (ascendance Duréault).

 

Né à Mercurey (Saône et Loire) le 7 juillet 1766, Guillaume Philibert Duhesme commande la garde nationale de son canton entre 1789 et 1791. Il entre alors, comme capitaine, dans le second bataillon de Saône-et-Loire. Cette même année il équipe à ses frais un bataillon de 200 hommes, dont Dumouriez lui confie le commandement. De 1792 à 1794, il sert à l’armée du Nord. Nommé lieutenant-colonel en premier du 4e bataillon franc du Hainaut, il commande la place de Ruremonde pendant que l'armée traverse la Meuse ; après la bataille de Nerwinde, il brûle un pont, sur la Hoo, en présence d'une colonne ennemie. Le 6 juillet 1793, au combat du bois de Villeneuve, les grenadiers français se découragent et abandonnent leurs rangs. Duhesme, bien que blessé de deux coups de feu, parvient à rétablir l'ordre et à obtenir quelques avantages sur l'ennemi. Ce trait de courage lui vaut provisoirement le grade de général de brigade, décerné par les Représentants du peuple, le 7 octobre 1793, grade qui sera confirmé le 12 avril 1794.

Guillaume Philibert Duhesme (1766-1815)

Guéri de ses blessures, il est mis à la tête de l'avant-garde et s'empare de la Capelle et s’y maintient. A la journée de Grandjean, il ramène au combat les troupes qui se replient en désordre, et, malgré la blessure qu'il a reçut, continue de commander la colonne qui protège la retraite. A Charleroi, à la tête de sa brigade, il débouche d'un bois dans une plaine battue par la mitraille et défendue par une forte ligne de cavalerie ; apercevant quelque hésitation dans les rangs de ses grenadiers, il descend de cheval, saisit le fusil d'un soldat, se met en ligne avec un des pelotons les plus opposés, et, chargeant à la baïonnette, force l'ennemi à battre en retraite.


A l'attaque du pont de Marchiennes, défendu par une nombreuse artillerie, il emploie des espèces de matelas roulants qui permettent aux canonniers de faire avancer leurs pièces, et, malgré le feu de l'ennemi, il détruit leurs retranchements, effectuant ensuite le passage de vive force. Le 26 juin 1794, où il se distingue à Fleurus. Passé á l’armée de Sambre et Meuse, avec toute sa division, il est au siège de Maëstricht, repoussant l'ennemi dans cinq sorties ; il est nommé général de division, le 8 novembre 1794.


Il fait un court passage en Vendée sous les ordres de Hoche, puis passe à l'armée du Rhin sous les ordres de Pichegru, se distinguant à Kehl, à Biberach, à Schussenvied. Durant la campagne de 1797, il est à l'armée de Rhin-et-Moselle, sous les ordres de Moreau. Suspendu une courte période, sur une fausse accusation de lâcheté au combat, il retrouve une division, sous Desaix, en 1797. Il est blessé à la main droite à Diersheim, au moment où, devant ses soldats, il bat la charge sur un tambour avec le pommeau de son épée. En 1798, il apporte au Directoire les drapeaux pris par l’armée du Rhin, le 25 février 1798.


Il est en Italie, de 1798 à 1799, commandant l'aile gauche de Championnet. Il s'empare de Cerrita del Tronto, de Pescara, et contribue largement à la prise de Naples, les 20-22 janvier 1799. Championnet lui confie alors le commandement militaire de la Pouille et des Calabres : il y bat un parti de 12 000 hommes et se rend maître des villes insurgées. Il est entraîné, en mars, dans la disgrâce de Championnet, mais est réintégré, en juin, et admis dans le corps de Grenier ; au printemps de 1800, il passe à l'armée de réserve organisée à Dijon. Le 3 décembre, il commande l'aile gauche de l'armée franco-hollandaise d'Augereau, contribuant aux succès de Burg, d'Éberach, de Bamberg, etc. ; il passe ensuite au commandement de la 19e division (Lyon), en septembre 1801.


En 1805, il commande la 4e division de l’armée d’Italie, est à Caldiero et au passage du Tagliamento, puis est chargé d’occuper l’Istrie à la fin de l’année. En 1806, il fait partie de l'armée chargée de la conquête du royaume de Naples (3e corps d’armée). Il fait paraître à cette époque un Précis historique de l'infanterie légère, etc., qui sera réimprimé en 1814.


Il quitte, au début de 1808, l'armée de Masséna pour aller prendre, le 27 janvier, le commandement du corps d’observation des Pyrénées Orientales, entrant en Catalogne le 9 février. Nommé gouverneur de Barcelone, le 7 septembre. A la suite de graves accusations, de la part d’Augereau, d’abus de pouvoir et de malversations, il rentre en Paris. Le 24 février 1810, Il reçoit l’ordre de quitter Paris dans les 24 heures.

 

 

Après cette retraite forcée, il est nommé, en 1813, commandant supérieur à Kehl, puis commandant de la 3e division du 2e corps d’armée de Victor, le 25 décembre.  Il participe à fait la campagne de France. Il est à Brienne, le 29 janvier, à La Rothière, 1er février (sa division est presque entièrement prise), à Montereau, le 18 février. En 1814, il commande une division dans le corps d'armée du duc de Bellune, et un décret de Napoléon Ier lui accorde le titre de Comte.

Le 1er juin, Louis XVIII le nomme inspecteur général d'infanterie, puis chevalier de Saint-Louis.Duhesme se rallie à l'Empereur lors de son retour de l'île d'Elbe. Il est nommé Pair de France et commandant de la jeune Garde. Il combat héroïquement le 18 juin 1815, à Plancenoit, près de Waterloo. Blessé mortellement à la tête, il est fait prisonnier par les Prussiens et transporté dans une maison (actuellement Auberge du Roi d’Espagne) de Genappe, où il décède le 20 juin 1815. Il est enterré à Ways.

 

Ses armes n'ont pas été trouvées. En revanche celles portées par ses fils (d'après le règlement d'armoiries de 1825) sont : de gueules à un lion d'or tenant de la patte dextre une épée d'argent et soutenu d'une rivière du même ; couronne : de Comte.

Philippe de CARRO (1693-1750)

Général-major dans l'Armée Russe

​Son épouse Marie de Chapeaurouge est la fille de Jean et Antoinette Duhamel (ascendance Ruprich-Robert, branche Doumerc).

 

Né à Genève (Suisse) le 29 novembre 1693. Il entre au service de la France entre 1708 et 1730 et sert dans le régiment de May puis celui de Diesbach. Il est nommé capitaine en 1719. A Genève, il est membre du Conseil des Deux-Cents (1721) et Auditeur en 1728. Impliqué dans les troubles de 1734 (affaire du Tamponnement), il est démis de ses fonctions et banni. Il entre alors comme capitaine au service de Russie (1736). Il prend part aux guerres contre les Turcs (1735-1739) et contre la Suède (1741-1743). En 1745, il reçoit le commandement d'une brigade d'artillerie. Il est promu Général-major en 1748. Il meurt à Saint-Petersbourg, le 10 mars 1750.

De Marie de Chapeaurouge, épousée à Genève, le 19 janvier 1721, il eut au moins deux fils, Jean et Philippe.

Camille COUSIN (1852-1917)

Général de brigade

​Son épouse Berthe Renaud est la fille de Félix et Amica David de Sanson (ascendance Duréault, branche Renaud).

 

Fils de notaire, il naît à St-Germain-en-Laye, le 22 mai 1852. Il s'engage comme soldat au 63e Régiment d'Infanterie de Marche, le 22/12/1870 ; caporal le 27/12/1870 ; sergent le 04/01/1871 ; libéré le 18/03/1871. Il entre à l'Ecole Spéciale Militaire, le 15/11/1872 ; caporal le 29/04/1874 ; sorti 148e sur 304.
Sous-lieutenant au 98e Régiment de Ligne, le 01/10/1874.
Ecole régionale de tir de Valbonne en 1875/76 : sorti 43e sur 103.
Lieutenant au 121e Régiment de Ligne, le 31/05/1879.
Officier d'ordonnance du général Hubert de la Haye commandant la 51e brigade : 12/06/1879.
Officier d'ordonnance du général Jenard commandant la 51e brigade : 27/04/1880.
Capitaine au 85e RI : 19/11/1884.
Etat-Major de la 31e Division d'Infanterie : 30/11/1885 ; de la 1ère Division de cavalerie : 11/10/1886.
Chef de bataillon au 131e RI : 26/02/1894 ;  au 70e RI : 13/07/1897 ; au 124e RI : 17/08/1897 ; au 59e RI : 17/04/1898 ; au 130e RI : 03/04/1899.

Lieutenant-colonel au 142e RI : 16/03/1901 ; au 39e RI : 28/02/1902 ; au 135e RI : 24/04/1905.
Colonel au 68e RI : 24/06/1906 ; au 73e RI : 27/09/1906 ; au 85e RI : 22/12/1906 ; au 76e RI : 24/01/1907.
Général de Brigade à l'Etat-Major général commandant la 23e brigade : 31/12/1910.
Mis en disponibilité le 19/12/1911. Mobilisé en 1914 au commandement de la 165ème Brigade Territoriale.

Mort de maladie contractée en service, le 16 avril 1917.

Commandeur de la Légion d'Honneur.

De Berthe Renaud, épousée à Paris, le 6 décembre 1886, il eut un fils, Robert.

Léon CALLOU (1863-1946)

Ingénieur général du Génie Maritime

​Son épouse Marie Leredu est la fille de Jean et Joséphine Boueil (ascendance Pinet, branche Leredu).

Fils d'un entrepreneur en maçonnerie, il naît à Paris, le 22 août 1863. Reçu à l'Ecole Polytechnique en 1882, il sort 25e/234  en 1884 et entre à l'Ecole du Génie Maritime, Ingénieur de 3e classe (01/10/1884) ; Ingénieur de 2e classe (06/11/1886) ; Ingénieur de 1ère classe (01/01/1889).

Professeur de technologie à l'Ecole d'Application du Génie Maritime (15/11/1896).
Ingénieur en chef de 2e classe (05/06/1899).
Ingénieur d'Escadre sur le cuirassé Formidable auprès du Vice-amiral Charles de Courthille, commandant l'escadre du Nord ; sur le cuirassé Masséna (01/01/1903).
Ingénieur en chef de 1ère classe (13/12/1907).
Membre rapporteur de la commission centrale des machines et du grand outillage (01/01/1907).
Directeur de l'arsenal de Toulon puis de celui de Brest.
Ingénieur général de 2e classe (01/05/1916).
Inspection générale des constructions navales (01/01/1917). Membre de la Commission centrale des marchés industriels.
Directeur de l'Ecole du Génie Maritime.
Deuxième section (1922).

Commandeur de la Légion d'Honneur, Officier d'Académie.

Léon Callou en 1927, source familiale

De Marie Leredu, épousée à Paris, le 29 septembre 1890, il eut quatre fils (dont Henri, ci-dessous et Jacques, officier de Marine qui mourut lors du naufrage du Georges Philippar en 1932) et trois filles.

Henri DUREAULT (1890-1983)

Ingénieur général de l'Armement

Arrière-petit-fils de Claude Duréault et Julie Brenot, fils de Maurice, officier de cavalerie, il naît à Mourmelon-le-Grand, le 17 avril 1890 (ascendance Duréault).

Admis à l'Ecole Polytechnique le 23/09/1910 ; incorporé au 37e Régiment d'Artillerie de Bourges 10/10/1910 ; brigadier le 10/04/1911 ; entré à l'Ecole et Aspirant le 09/10/1911. A sa sortie, le 31/07/1913, il choisit l'Artillerie.

Sous-lieutenant le 23/09/1913.

Directeur des Produits Métallurgiques au Ministère de l'Armement (20/09/1939).

Ingénieur général de 2e classe l'Armement.

Le détail de sa carrière n'a pas encore été trouvé.

Michel CALLOU (1928-2000)

Ingénieur général de l'Armement

Fils de Léon Callou ci-dessus et de Marie Leredu, il naît à Paris, le 6 juin 1928 (ascendance Pinet branche Leredu).

Admis à l'Ecole Polytechnique en 1947.

 

Ingénieur général de 2e classe l'Armement.

Le détail de sa carrière n'a pas encore été trouvé.

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